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Succession du Pape François : 133 cardinaux électeurs en conclave

Succession du Pape François : 133 cardinaux électeurs en conclave

Au Vatican, 133 cardinaux électeurs venus de 70 pays sont en conclave dans la chapelle Sixtine pour choisir le prochain Pape. C’est une réunion à huis clos pour élire le successeur du pape François, mort le 21 avril 2025.

Au Vatican, 133 cardinaux électeurs venus de 70 pays sont en conclave dans la chapelle Sixtine pour choisir le prochain Pape. C’est une réunion à huis clos pour élire le successeur du pape François, mort le 21 avril 2025.

Messe avant le conclave

Messe avant le conclave

Qui pour succéder au pape François ? La réponse devrait être connue dans les tout prochains jours selon les observateurs. Pour élire le 267e pape de l'histoire, 133 cardinaux venus des quatre coins du globe sont réunis au Vatican. Ils entament ce mercredi 7 mai 2025 un conclave. 

 

Le scrutin va se dérouler en autant de tours nécessaires jusqu'à ce qu'un candidat obtienne la majorité des deux tiers, soit 89 voix. Le conclave commence par un vote initial le 7 mai, qui est souvent symbolique et permet d'évaluer les préférences des cardinaux. 

 

Le conclave n'est pas limité dans le temps. Si aucun candidat n'est élu après trois jours, une journée de prière est observée. Une fois qu'un pape est élu, une fumée blanche s'échappe d'une cheminée improvisée au-dessus de la chapelle. Un cardinal de haut rang annonce ensuite son nom au monde depuis le balcon de la basilique Saint-Pierre.

 

Avant le démarrage des premiers votes très attendus, les cardinaux électeurs ont assisté à une première messe dans la basilique Saint-Pierre au Vatican. Objectif : implorer l’assistance du saint esprit afin que le meilleur choix soit fait.

 

La messe a été présidée par le doyen du collège cardinalice, l'Italien Giovanni Battista Re. Dans son homélie, il a appelé à choisir celui "dont l'Eglise et l'humanité ont besoin en ce tournant si difficile, complexe et tourmenté de l'Histoire", lors de la messe précédant le conclave.

 

L'Italien a aussi plaidé pour le maintien de l'unité de l'Eglise lors de ce « choix d'une importance exceptionnelle » tout en rappelant que toute considération personnelle doit être abandonnée lors du conclave.

 

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